Alberto Sorbelli est italien, il a été danseur, il vit en France et se glisse dans des rôles qui dépendent des circonstances de sa vie. Sa panoplie n’est pas celle du saint mais celle du travelo quand il est "la pute", celle de l’homme de tous les jours quand il est "l’agressé". Foin des objets d’art, des installations, il veut du direct, du vécu, de l’incarné ; c’est la relation à l’autre, aux autres, qui l’intéresse pour mener sa démonstration.
Sorbelli s’inscrit dans une tradition éthique - contre-éthique serait plus juste - qui, des cyniques grecs à Dada, choisit la provocation ouverte et irréductiblement individuelle pour saper les fondements de l’ordre moral et social. Jouant sans cesse sur l’ambiguïté et l’équivoque - celles du corps, du sexe et de l’argent - l’artiste soulève la question de la capacité de résistance, identitaire et érotique, des minorités.
Au BBI, Alberto Sorbelli amorce un nouveau cycle d’interventions.
Sorbelli s’inscrit dans une tradition éthique - contre-éthique serait plus juste - qui, des cyniques grecs à Dada, choisit la provocation ouverte et irréductiblement individuelle pour saper les fondements de l’ordre moral et social. Jouant sans cesse sur l’ambiguïté et l’équivoque - celles du corps, du sexe et de l’argent - l’artiste soulève la question de la capacité de résistance, identitaire et érotique, des minorités.
Au BBI, Alberto Sorbelli amorce un nouveau cycle d’interventions.
� Alberto Sorbelli: L'agress�, 1998, Agression et arrestation pendant l'exposition Masterpieces au Guggenheim Museum, New York. Photo Florio Puenter
Conf�rence
2003
2003
Langages de la nature
Fran�ois Couplan
Fribourg
Claudine BrohyFribourg
Patrick JantzenGen�ve
Erika StuckyThun
Jeremy NarbyGen�ve
The Young GodsFribourg
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