David Link est invité par BLINDMAN QUARTET (1992)
Un texte, dans la pénombre, se déroule sur l'écran. Un texte que personne n'écrit. Les touches, sur le clavier qui se dresse devant l'écran, bougent comme si elles étaient animées par la main d'un fantôme. Une voix monotone et mécanique dévide le texte, phrase après phrase. Le système, sans spectateur, écrit rapidement. Un orage de lettres. Les mots se bousculent sans interruption. Qu'un visiteur approche, le générateur de texte hésite, balbutie, ralentit jusqu'à l'arrêt. Il cède alors la place au spectateur, l'invite à actionner lui-même les touches. La Poetry Machine 2.0 se saisit des mots et commence à développer des associations à partir d'eux.
Un texte, dans la pénombre, se déroule sur l'écran. Un texte que personne n'écrit. Les touches, sur le clavier qui se dresse devant l'écran, bougent comme si elles étaient animées par la main d'un fantôme. Une voix monotone et mécanique dévide le texte, phrase après phrase. Le système, sans spectateur, écrit rapidement. Un orage de lettres. Les mots se bousculent sans interruption. Qu'un visiteur approche, le générateur de texte hésite, balbutie, ralentit jusqu'à l'arrêt. Il cède alors la place au spectateur, l'invite à actionner lui-même les touches. La Poetry Machine 2.0 se saisit des mots et commence à développer des associations à partir d'eux.
PROJETS
2003
2003
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